Anouk Schavelzon, “Le bleu n’abîme pas” (Seuil)

L’héroïne d’Anouk Schavelzon chante son mal-être et raconte ses relations gangrenées par les fantasmes d’exotisme qu’on projette sur elle.

0 commentaires
0 likes
Post précédent: La fragilité des vies ordinaires ActuaLittéPost suivant: Librairie : des actions concrètes pour un commerce du livre plus écologique ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *