Grève chez Editis : “De belles paroles… mais rien de plus” ActuaLitté

La pause déjeuner n’était pas achevée pour tout le monde que les drapeaux Force Ouvrière s’installaient devant le 92 de l’avenue de France, à quelques pas de la BnF. Robert Antelme, écrivain et résistant déporté, dont la place est située non loin, observait avec attention ce mouvement de foule : une grève devant le siège social d’un groupe éditorial, voilà qui est rare. Celui d’Editis, c’était du jamais vu. 

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