Jeux du Cirque : l’éditeur recrutait des gladiateurs, pas des auteurs ActuaLitté

Passer à Nîmes sans visiter les Arènes (et la Maison carrée, et le Temple de Diane, et j’en passe et j’en oublie) serait criminel. Or, les gladiateurs, contrairement images qu’a véhiculées le cinéma hollywoodien, n’étaient pas systématiquement esclaves ou prisonniers, comme dans les peplums. Certains combattants étaient des hommes libres, professionnels de l’arène, payés pour ce faire : les auctorati.

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