Présentation
Parlez-nous un peu de vous personnellement ? Si vous avez un auteur préféré, un personnage favori ? Et terminons par un petit mot sur vos débuts : Depuis quand écrivez-vous ? Que pouvez-nous dire de vos livres, de votre style d’écriture ?
Let’s go ! Eva, la trentaine dépassée, auteure à temps plein, scénariste accessoirement, maman débordée de deux adorables et turbulents garçons, j’ai un background assez long dans l’édition en tant que salariée et depuis quelques temps, en freelance.
Un seul auteur ? Non, ça c’est pas possible. En vrac : Robin Hobb, Hugo Verlomme, Jean Auel, Mary Stewart, Maurice Druon, Barjavel… quant aux personnages de roman, idem, ils sont légion : FitzChevalerie, le Fou, Merlin, Zeus, Alexandre, Ayla, Horn ou même Tris… chacun m’a séduit par des caractéristiques qui lui sont propres. En fait je crois que je rêve de lire un jour un roman qui compilera tous ces héros en un seul….
J’écris… je ne sais même pas. J’aurais envie de dire : depuis toujours. Ou depuis que je sais tenir un stylo. Mais mes premiers véritables textes aboutis et réfléchis, ça date de mon début d’adolescence il me semble. Quant à un style d’écriture… je ne sais pas trop, c’est aux lecteurs je pense de le dire.
Je m’appelle Virginie, je suis scénariste pour la télévision, et côté familial tout ce que je peux dévoiler c’est que j’ai un petit chihuahua de 4 ans (qui m’a d’ailleurs inspiré pour le compagnon de l’héroïne de mon roman…)
J’adore Agatha Christie. Elle était d’une créativité folle, et ce qu’on sait moins c’est qu’elle avait beaucoup d’humour. Autrement, j’aime beaucoup Jane Austen. « Orgueils et préjugés » est un bijou d’intelligence et d’humour aussi avec des personnages intemporels.
J’écris depuis… que je sais tenir un stylo en fait 🙂 Ça a toujours été un formidable défouloir à mon imagination débordante. Et comme je voulais vivre de ma plume, j’ai commencé par suivre une formation de journaliste, puis de scénariste avant de pouvoir en vivre. Maintenant j’écris aussi des romans et c’est merveilleux de pouvoir inventer une fiction de A à Z sans pour autant répondre à une commande.
Puisqu’il faut en passer par là…. Donc je me présente, Cary Hascott, je suis Superviseur Logistique le jour et auteure tard le soir. J’ai deux garçons de 13 et 9 ans, un mari fou de foot et un chat fou tout court…
Dans le style Romance, j’aime beaucoup Colleen Hoover chez les américaines, je sais qu’avec elle je ne serai jamais déçue. Chez les françaises, j’ai un faible assumé pour Angel Arekin et ses personnages masculins toujours affirmés.
Pour les personnages, j’avais eu un vrai faible pour Colton de « Te succomber » de Jacinda Wilder, et Elec dans « Step Brother » de Penelope Ward.
Concernant l’écriture ?
Depuis quand ? Le « travail » d’écriture a réellement commencé il y a presque 3 ans.
Livres à mon actif ? Mon premier roman « Levin Doubtful Love » a été édité chez Nisha Éditions, l’an dernier. Mais avant cela, j’ai eu la chance de participer grâce à ma ME à un projet en partenariat avec le magazine PUBLIC pour la romance de l’été 2017. Il s’agissait de la nouvelle “CRUSHED”, 8 épisodes en parution chaque semaine dans le magazine.
Le dernier sorti est « My Heart in Seoul » un autre projet atypique, une intrigue menée par 5 plumes différentes, 5 épisodes avec un coup de projecteur sur un des protagonistes. Mon challenge était d’ouvrir le bal, avec l’épisode 1, centré sur le personnage de Swan. Le premier tome broché, que je partagerai avec Mikky Sophie, auteure de l’épisode n°2, est prévu très prochainement.
Style d’écriture ? Comme tous les auteurs, effectivement je pense avoir un « style ». Est-il particulier, similaire ou différent de celui des autres ? Je ne suis pas en mesure de juger. Ce que je peux affirmer c’est que j’ai adopté un rituel d’écriture avec le temps et qu’il m’est quasiment impossible d’y déroger. Casque sur les oreilles, musique et mon téléphone. Au début j’écrivais sur mon téléphone, puis j’avais privilégié l’ordi, mais finalement j’y suis assez vite revenue. Le texte est partout avec moi. Je peux noter mes idées. Relire des passages et continuer à travailler n’importe où. La seule chose qui manque souvent c’est le temps….
Bonjour à tous, je me présente rapidement : je suis Mikky Sophie, j’ai 32 ans et j’ai récemment arrêté de travailler dans la restauration pour me consacrer à ma famille et à l’écriture. Je veux vivre sans regret alors j’essaie d’être la personne que j’aimerais être : une bonne mère et une femme épanouie par sa passion… et ce n’est pas toujours facile !
J’ai toujours beaucoup de mal à répondre à cette question (Ndlr : Auteur préféré ?), car j’apprécie énormément beaucoup d’auteurs, mais pas forcément toutes leurs œuvres. Dans la romance, j’adore le duo Pénélope Ward et Vi Keeland pour le côté léger et attachant, Ka Tucker pour le côté émouvant et poignant et Tillie Cole pour le côté bouleversant. Je suis aussi très attachée aux romances historiques de Pamela Clare. Chez les françaises, j’adore Julie Tremblay et Lisa Mars et j’attends impatiemment une autre histoire des deux auteures pour confirmer mes coups de cœur.
Pour les personnages, un seul me vient à l’esprit, c’est “Flamme” de la série des “”Hades Hangmen de Tillie Cole. On ne peut pas faire plus torturé que lui.
Je me suis mise à écrire avec conviction il y a trois ans avec l’ouverture de la plateforme Fyctia. Après des débuts brinquebalants et peu convaincants, j’ai trouvé ma plume avec “Love ticket”, mon premier roman publié chez La Condamine et Closer. J’ai ensuite écrit “Sur ton chemin” chez Nisha Éditions et “The Heart Line” qui sort cet été. Les trois romans ont des styles très différents : l’un est léger et drôle, l’autre plus spirituel et le dernier plus dark. J’écris vraiment en fonction de mes humeurs et de mes expériences personnelles qui influencent souvent le parcours et la mentalité de mes personnages. Ensuite, j’aime m’ouvrir à d’autres horizons et Nisha est une Maison d’Édition innovante qui permet à ses auteurs de s’expérimenter à d’autres exercices. J’ai donc pu participer à la rédaction d’un des personnages de “Is it Love”, le collectif auteur “Pomme” et le personnage de Kim dans “My Heart in Seoul”.
“My Heart in Seoul” & Le K-Pop
Sauriez-vous m’expliquer ce qu’est le K-Pop ? Parce que je vous avouerais que je suis un peu perdue :p
Eva de Kerlan : Euh… je vais laisser mes collègues répondre 😉 (joker)
Virginie Platel : La K-Pop nous vient de Corée du sud. C’est un style musical à la base, chanté la plupart du temps par des boys band et qui s’est fait connaître surtout via les réseaux sociaux et les plateformes type YouTube. Toute la planète en a pris connaissance avec le tube Gangnam style (qui est d’ailleurs le nom d’un quartier à la mode de Séoul.) J’en avais entendu parler comme tout le monde, mais en effectuant mes recherches pour mon roman j’ai découvert une culture d’une richesse incroyable. C’est une véritable industrie en Corée !
Cary Hascott : J’avoue que le K-Pop était un énorme point d’interrogation pour moi, avant de me pencher sur ce projet. Afin de comprendre ce qu’on attendait de moi et surtout du texte, j’ai effectué quelques recherches. Merci Internet !!!
Pour autant, je ne me pose pas du tout en spécialiste du genre et je dois bien admettre que les allusions au K-pop restent minoritaires dans « mon épisode ».
Mikky Sophie : Je ne connaissais pas du tout le K-pop avant que Nisha vienne m’en parler. La première fois, au téléphone, j’étais en vacances, l’esprit détendue et ailleurs, j’ai cru que mon éditrice me parler de « Capote » et je comprenais pas pourquoi elle me demandait si je connaissais les « capotes »… j’ai cru que ma M.E. lançait un partenariat avec Durex !! Un an plus tard, je sais que le K-pop est un style de fanfiction, des romances qui ont pris leur source en Corée du Sud, qui s’inspirent de groupes masculins de musique pop et qui s’allient à des intrigues policières, familiales, fantastiques… Pour moi, cela représente une manière différente d’explorer la romance.
Pour chacune d’entre vous, quelles ont été les spécificités de l’écriture de ce livre ?
Eva : La difficulté me concernant, c’était de prendre le relais de ce qui était déjà rédigé sans faire de discordance. Ça n’a pas été simple, mais j’ai apprécié devoir détailler les parties précédentes pour en tirer ma propre matière de texte.
Virginie : J’ai écrit un tome, l’épisode 3, d’une intrigue qui s’étale sur plusieurs romans. J’ai adoré écrire l’histoire de la meilleure amie de l’héroïne, Shin Ae Sha une jeune fille plutôt timide qui va devoir prendre des risques pour tenter de sauver sa meilleure amie (Kim So Jun, une star coréenne) accusée à tort d’un crime qu’elle n’a pas commis. Au cours de cette aventure elle va rencontrer un chanteur de boys band K-Pop adulé par des milliers de filles et qui n’aura cependant d’yeux que pour elle…
Cary : Cette expérience nous a vraiment été présentée comme un travail de rédaction. Une sorte d’exercice (pour ma part en tout cas). J’ai accepté cette proposition comme un challenge, une nouvelle expérience, une nouvelle façon de concevoir une histoire, un exercice d’écriture à part entière.
Sophie : Ce livre a été rédigé avec le point de vue d’un personnage pour chaque rédacteur. Nous avions le scénario de notre protagoniste mais aucun détail précis, c’était à nous d’imaginer le reste. Ce qui était amusant, c’était de ne pas savoir ce qu’il se passait vraiment dans la tête des autres personnages, cela permettait de se mettre vraiment à la place du notre, de vivre ses émotions.
Est-ce qu’écrire à plusieurs mains a été difficile ? Qu’est ce que cela représentait pour vous ?
Eva : Donc oui, écrire à plusieurs mains c’est délicat et pas évident. C’était un nouvel exercice de style pour moi, une sorte de défi à relever, et j’avoue m’être bien amusée.
Virginie : Ça a été plutôt facile en fait ^^ En tant que scénariste je pratique ce type d’écriture au quotidien. Quand on écrit une série pour la télévision, on part de ce qu’on appelle une Bible et des personnages, qui vont être incarnés à l’image par des comédiens (il faut donc aussi s’inspirer de leur jeu dans les dialogues notamment), et d’une trame générale pour ensuite créer des épisodes originaux. La liberté jaillit des contraintes. C’est un travail d’équipe car on écrit aussi pour le réalisateur, les membres de l’équipe technique, les spectateurs, la chaine… et il faut correspondre à la charte, au budget de la série, aux décors etc. C’est très cadré et très calibré.
Dans « My heart in Seoul », chaque auteur avait sa partie à jouer, un peu comme dans un groupe musical d’ailleurs, d’après une partition/canevas global. Après la difficulté était d’apporter de l’originalité et du vécu aux personnages, tout en se coulant dans la trame générale. Un peu comme un puzzle assemblé par différentes personnes.
Cary : J’avoue ne pas avoir eu la place la plus compliquée pour l’écriture à plusieurs mains, étant donné que j’ai été la première. Mais cela a suscité beaucoup de curiosité et de questions du genre « Comment les épisodes allaient pouvoir s’enchainer les uns après les autres, comment rendre cohérent un texte, une intrigue qui a plusieurs auteurs »…. J’étais d’ailleurs très impatiente chaque semaine de découvrir un nouveau morceau de l’intrigue, de nouveaux éléments de réponse… N’oublions pas … il y a une affaire de meurtre à élucider…
Sophie : L’écriture à plusieurs mains n’a pas été du tout difficile car elle n’en a pas été une, en fait. Chaque auteur a écrit son personnage sans savoir ce que les autres écrivaient… comme dans la vie réelle, on ne sait pas à quoi s’attendre des autres et pourtant la vie continue son parcours. Le scénario de base était bien ficelé pour qu’il n’y ait pas d’incohérences.
Comment décririez-vous cette expérience ?
Eva : En un mot : enrichissante.
Virginie : Moderne et vivante. J’adore expérimenter de nouvelles écritures… Et en plus j’avais un retour super enthousiaste de l’éditeur sur mon travail et il me donnait aussi des news des autres auteurs, ce qui était d’autant plus motivant.
Cary : Enrichissante et contraignante.
Enrichissante dans le sens où l’univers dans lequel évoluent les personnages est différent, inédit pour moi. Pour l’exercice d’écriture que ce texte a représenté.
Contraignante, parce qu’il a fallu respecter un cadre bien déterminé, ne pas se laisser déborder par ses propres idées, refréner parfois son propre imaginaire pour le mettre au service du fil conducteur défini.
Sophie : Cette expérience est un véritable travail d’écriture. Se baser sur un scénario n’est pas toujours évident. En tant qu’auteur, j’ai l’habitude de laisser libre cours à mon imagination, je travaille sans plan la plupart du temps, alors que là, mon esprit tordu était guidé et maintenu.
Avez-vous un personnage préféré ?
Eva : La question ne se pose pas : Aaron 😉 lui, il m’a parlé direct, ça a collé entre nous et écrire par son regard, ça a été extrêmement plaisant. Tu me connais, j’adore écrire du point de vue des hommes… 😉
Virginie : J’aime beaucoup Shin ae Sha, l’héroïne du Tome 3. Et j’ai également eu un coup de cœur pour l’un des membres du boys band, un garçon beau comme un Dieu et sensible qui doit taire son homosexualité pour ne pas mettre en péril son groupe… Mais je ne dirais pas son nom pour ne pas spoiler ^^
Cary : Le personnage d’Aaron m’intrigue beaucoup, il porte en lui des secrets et des failles, j’aime énormément ce genre de personnage. Mais ça ne serait pas vraiment loyal de ne parler que de lui, car ils ont chacun une histoire et leurs cicatrices propres. Park est aussi un acteur intriguant de cette série.
Néanmoins, je reste fidèle à ma petite Swan (dont j’adore le prénom), pour son coté spontané et parfois même un peu irréfléchi. Elle est émotive et attachante.
Sophie : Je suis très heureuse d’avoir écrit le point de vue de Kim. Me mettre dans la peau d’un coréenne, star dans son pays, emprisonnée à tort était un véritable rôle de composition. J’ai compris que sa force n’était qu’une carapace, que ses émotions étaient, comme nous tous, guidées par les événements du passé. J’avoue avoir une préférence pour Park, mystérieux, autoritaire et très ronchon… il est diablement sexy dans le rôle du brun ténébreux à qui l’on aimerait briser les défenses.
Nos auteures et l’avenir
Quels sont vos projets ? Qu’écrivez-vous en ce moment ?
Eva : “Mes projets… oh la la… en vrac : ma saga de science-fiction dont le dernier tome doit paraitre en fin d’année. Une dark romance en cours d’écriture, qui sera suivie de deux autres romances qu’on pourrait qualifier d’historique s’il n’y avait… un petit quelque chose de déviant dans ces prochains textes ; et une urban fantasy… des projets jeunesse avec des associations, aussi… un 4 mains avec une amie talentueuse… et… j’en oublie, mais c’est déjà pas mal…”
Virginie : J’ai plusieurs projets de romans et scénarios sur le feu, et je rêve d’écrire pour le jeu vidéo. (J’ai d’ailleurs un peu commencé…) Actuellement, je travaille sur un roman Chick Lit à l’humour ravageur adapté d’un concept de série télé originale avec un groupe de filles aussi piquantes que leurs talons aiguilles…
Cary : Actuellement, je termine l’écriture d’un autre roman (confidence : je devrai déjà être en train d’attaquer les corrections mais je suis en retard… C’est le drame de ma vie – de tous les jours- Ne le répétez pas où mon éditrice va avoir envie de m’étrangler)
Celles qui avaient eu l’occasion de suivre la saga de Public l’an dernier, seront enfin ravies d’apprendre qu’elles ne resteront plus sur leur faim…. Je n’en dis pas plus pour le moment… #secretdefense LOL
Sophie : En ce moment, je profite de la sortie de “The Heart Line” pour m’inonder des mots doux des lectrices et regonfler une confiance en soi nécessaire pour continuer à écrire et concrétiser mes projets en cours : j’ai une romance à quatre mains qui attend impatiemment mon intervention après une longue absence suite à ma grossesse, la rédaction de “Paradise Ticket”, un spin-off de “Love ticket” avec Cassandra en héroïne et une autre romance dans le même genre que “Sur ton chemin” avec deux personnages dont les routes n’auraient jamais dû se croiser.
Une information à faire passer, un mot pour vos lecteurs ?
Eva : Je serais présente au salon du livre de Mons en novembre, si le cœur vous en dit de venir me rencontrer. Et Un grand (non, un énorme) merci pour me suivre et me lire. N’hésitez pas à me faire des retours sur vos lectures, j’adore savoir ce que vous avez pensez de mes livres. 😀
Virginie : J’espère que vous adorerez voyager avec « My heart in Seoul » et vibrer en chœur avec les héros de cette histoire au son de la K-Pop !
Cary : Une information …. Pas précisément.
Un mot… oui très certainement, même beaucoup plus qu’un d’ailleurs…. Je voudrais leur dire que je suis toujours extrêmement touchée par les mots que certains prennent le temps de me laisser. Je voudrais leur dire qu’il est important de communiquer leurs avis, qu’ils soient élogieux ou moins glorieux, toute critique est bonne à prendre. Un grand merci encore à ces personnes qui me suivent et me soutiennent dans cette aventure depuis le début et bienvenu à celles et ceux que je ne connais pas encore….
Note pour plus tard, pour celles et ceux qui ne me connaissent pas, même si je ne le dis plus aussi souvent, j’aime toujours les Curly et les cerises….
Sophie : J’aimerais remercier les lectrices qui osent plonger dans mes histoires et les prévenir qu’elles ne sortiront pas indemnes de “The Heart Line”. J’attends impatiemment leurs retours sur ce roman, car j’hésite encore à en rédiger une suite… ce sont les lectrices qui le décideront, en fait… donc j’espère qu’elles me donneront leurs opinions sans langue de bois.
Voilà c’est terminé pour cette riche interview, qui je l’espère vous aura éclairé sur le monde du K-Pop et par la même occasion, vous aura permis d’en découvrir un peu plus sur “My Heart in Seoul” et ses auteures.
Je remercie Eva de Kerlan, Virginie Platel, Cary Hascott & Mikky Sophie pour leur participation et leur gentillesse. J’en ai beaucoup appris et j’ai hâte de suivre vos évolutions à chacune.
Eva de Kerlan : C’était avec grand plaisir.
Virginie Platel : Merci de m’avoir lu et à bientôt !
Cary Hascott : Merci France, à bientôt … Xoxo Cary Hascott
Mikky Sophie : Merci France pour tes questions, à très vite 😊
A très bientôt,
France