Le féminisme l’emporte

Au moment de #MeToo, le monde, de l’édition y compris, a parlé de tsunami, de raz-de-marée et autres métaphores trahissant notamment sa stupeur. Une poignée d’années plus tard, il semblerait qu’en dépit des flux et reflux, la comparaison avec le gulf stream soit plus raisonnable, dans le sens où l’édition féministe irrigue le milieu du livre de façon durable et profitable, et qu’il serait très risqué, ne serait-ce qu’économiquement, de vouloir le déjouer. Panorama d’un marché qui gronde.

0 commentaires
0 likes
Post précédent: Emma Doude van Troostwijk reçoit le prix Françoise Sagan 2024Post suivant: Lille : Le Festival des livres d’en haut en octobre 2024 ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *