Une « culture du viol à tous les étages ». Voilà ce que dénonce Judith Bouilloc, autrice d’une dizaine de romans jeunesse dont L’arrache-mots (Hachette Romans, 2019), quant à la nomination de Kamel Daoud en tant que Prix Goncourt 2024. L’auteur, accusé de vol d’histoire par l’Algérienne Saâda Arbane, a suscité de vives polémiques, qui motivent l’écriture d’une lettre ouverte à l’Académie Goncourt, publiée dans Le Club de Mediapart ce mardi 3 décembre et reproduite en intégralité sur ActuaLitté.