Nathalie Skowronek, “La voix des Saules” (Grasset)

Dans un récit pudique, Nathalie Skowronek décrit son immersion dans un atelier d’écriture en psychiatrie, qui l’a renvoyée à ses interrogations intimes.

0 commentaires
0 likes
Post précédent: En Floride, la censure homophobe des livres se lève un peu ActuaLittéPost suivant: Est-ce que ça tourne bien rond ? ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *