Philippe Charlier : « Notre fascination pour les vampires est liée à celle pour la mort et à l’idée que la mort n’est pas une fin »

A l’approche d’Halloween et de la Toussaint, le médecin et anthropologue Philippe Charlier sonde notre fascination populaire pour les vampires, qui trahit, selon lui, une peur fondamentale de l’altérité tout autant qu’une interrogation sur la finalité de l’existence humaine.

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