Pour In‘âm Bayoud, contre les réactions algériennes ActuaLitté

Redonnant une voix et une image à la résistance des femmes face à l’autoritarisme, à l’intégrisme islamique et à sa terreur de masse durant la guerre civile algérienne (1990-2000), le récent couronnement de Houaria, roman écrit en langue arabe par la traductrice et romancière In‘âm Bayoud, du Grand Prix Assia Djebar 2024, a libéré le vieux remugle misogyne, réactionnaire et nostalgique de la culture sanguinaire du FIS (Front Islamique du Salut) d’une grande partie de l’ « intelligentsia » algérienne, majoritairement composée d’hommes pour lesquels le cours de l’Histoire s’est arrêté le 5 juillet 1962. 

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