« Pour le pouvoir poutinien, l’hostilité de l’étranger est le moteur principal de l’histoire russe »

Deux ans après la dissolution de l’association russe Memorial, qui œuvre pour défendre les droits humains et enquête sur les crimes soviétiques, l’historien de l’URSS Nicolas Werth dresse, dans un entretien au « Monde », un tableau accablant de la répression en Russie et de l’institutionnalisation du mensonge historique par le régime.

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