Retour aux racines palestiniennes, entre les amandiers de 1948 ActuaLitté

BONNES FEUILLES – Récit initiatique d’un retour au pays natal, au cœur d’un verger d’amandiers établi en 1948, année funeste de l’exode palestinien. Là, dans les terres de Ramallah où il a pris son dernier souffle en 2002, repose l’écrivain selon ses dernières volontés. Une nouvelle édition traduite de l’arabe (Palestine) par Marianne Weiss. 

0 commentaires
0 likes
Post précédent: Philippe Claudel : « Mon ambition est de promouvoir le dialogue au sein de l’Académie Goncourt »Post suivant: Formidable : Jack Lang comme on ne l’a jamais lu ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *