Taxer le livre d’occasion : l’hypocrite stratégie de l’édition ActuaLitté

Rachida Dati marchant dans les pas d’Emmanuel Macron, voilà une image qu’on s’effacerait volontiers de l’esprit. Mais dans un secteur du livre qui se présente volontiers comme artisanale, alors que résolument industrielle, dès qu’il se trouve quelques deniers à ramasser, on fait suivre la volonté politique. 

0 commentaires
0 likes
Post précédent: La Gen Z et les livres : entre viralité et nouveaux codesPost suivant: Philippe Druillet, auteur de BD : « Sans l’art, je serais devenu un incasable, un délinquant »

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *